Corée du Sud : Un important fabricant d'acier choisit MIR 9000e pour la surveillance des émissions de NOx

La Corée du Sud a lancé en 2015 le système coréen d'échange de quotas d'émission (KETS) en 3 phases, devenant le deuxième plus grand marché du carbone après l'EU ETS.

Le KETS est en effet conçu pour jouer un rôle important dans la réalisation de l'objectif de contribution déterminée au niveau national (NDC) de la Corée pour 2030 de 37 % en dessous des émissions du statu quo (BAU). Il a été mis en place pour encourager les grands émetteurs de gaz à effet de serre tels que les sociétés de production d'électricité et les entreprises sidérurgiques.

Le gouvernement a fixé une limite globale d'émissions autorisées en fixant chaque phase du KETS à trois à cinq ans et chaque entreprise peut réduire directement les émissions de gaz à effet de serre (GES) ou acheter des permis d'émission en tenant compte des coûts de réduction. Cela offre une flexibilité pour un processus rentable de réduction des gaz à effet de serre dans tout le pays.

Le programme KETS s'applique aux entreprises avec un total annuel moyen de 125 000 tonnes ou plus d'émissions de GES sur 3 ans, aux entreprises avec 25 000 tonnes ou plus, et volontairement appliqué en tant qu'allocataires désignés. Les polluants à gérer sont : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l'oxyde nitreux (N2O), l'hydrogène fluorocarboné (HFCS), le perfluorocarbone (PFCS) et l'hexafluorure de soufre (SF6).

Pour chaque phase du KETS, le ministère de l'environnement et les autorités locales s'accordent sur un plan directeur qui inclut les VHU pour tous les industriels.

SeAH fabrique de l'acier inoxydable avec une capacité de production de 1,2 millions de tonnes/an.

Le groupe est le premier fabricant d'aciers spéciaux en Corée du Sud et produit une variété de matériaux de haute technologie pour des industries telles que l'automobile, la production d'énergie et l'électronique.